BG Krama (Mon premier personnage) Par Atania

Introduction

Nous étions restés sous le couvert du sous-bois, afin d'attendre la tombée de la nuit. Une odeur acre de bois calciné nous parvenait aux narines, et nous ne voyions plus, dans la direction du villages, que de faibles lueurs rougeâtres.
Nous n'avions plus entendus aucun sons depuis un certains temps, hormis quelques animaux nocturnes. Se fut sûrement cela qui nous convaincu de sortir de la forêt pour voir s'il restait des survivants.

Ce qui s'était passer, aucun de nous deux ne le savait vraiment, ou plutôt si, nous le savions mais nous ne voulions pas y croire. Le matin même, mon père m'avait envoyé, en compagnie d'un autre membre du village, chasser de quoi manger pour le banquet qui devait se dérouler se soir la. L'ambiance était a la fête, le temps était radieux, et cette journée promettait d'être belle.
A aucun moments, nous ne nous étions douté de se qui se passait. Nous nous trouvions sur le chemin du retour quand nous entendîmes des voies et des cris, au début nous pensions que c'était les gens au village qui chantaient, mais ces voies n'étaient pas gaies, elles étaient emplis de frayeur. Notre premier reflex fut de nous arrêter et d'écouter, mais dés que nous eûmes compris se qui se passait, nous nous mîmes à courir dans la direction du village. Arriver a la lisière de la forêt, nous ne pûmes retenir une exclamation de terreur. Là, a quelques centaines de mètres de nous, des humains brûlaient et pillaient notre village.

Parvenus à ce qui était encore l'entrée de notre village quelques heure auparavant, nous fûmes réduits au silence par le spectacle qui s'offrait à nous. Rien n'avait été épargné,, aucune maison qu'elle soit de pierre ou de bois n'était encore debout. Mon compagnon se précipita dans le village en courant, et je le suivis malgré les risques qu'il y ais encore des soldats de l'alliance.
Nous cherchâmes désespérément des survivant, peut-être que quelques uns avaient pu se
cacher, peut-être que d'autres personnes étaient partis à la chasse comme nous, et nous rejoindraient rapidement, peut-être que les éclaireurs avaient eu le temps de prévenir le village et que certains avaient eu le temps de fuir...
Mais l'espoir que nous avions, n'était qu'un désespoir, personne n'avait rechaper aux humains, ils devaient sûrement être trop nombreux pour les combattre efficacement. Ils ne nous avaient laisser aucune chance. Les corps des miens jonchaient le sol, le sang coulais dans les rues comme une rivière.
Je pus reconnaître sur un des morts, un insigne, un blason, celui des soldat du grand Amiral de la flotte humaine, l'amiral Proudmoore.
Nos bêtes avaient été égorgées ou emportées, nos provisions brûlées, nos frères...assassinés

Je m'appelle Krama, du village de Greenhill, Fils de Orkga et de Trìana. Orphelin de père et de mère.

Chapitre 1: Le départ

Après une nuit, peuplée de cauchemars, passée dans les décombres de notre village, nous nous mîmes à la recherche d'armes et d'armures, car nous n'avions en notre possession que les faibles arcs que nous avions utilisés pour chasser.
Après deux heures de fouilles, nous n'avions trouvé que quelques reste métaliques de haches et de dagues, ainsi que plusieurs peaux abimées dénichées près de la maison du tanneur, rien d'utile me direz vous, mais c'était sans conté sur l'habilitée de Karagnah, mon compagnon, qui nous confectionna avec ces peaux, des armures de cuirs d'une légèreté qui ne laissaient pas paraître leurs soliditées. Pour ma part, je me fabriquais une hache a deux mains pour moi, et une hache simple pour lui.
Nous partîmes à la tombée de la nuit, avec pour objectif d'aller voire Thrall pour l'informer de se qui c'était passer. Nous pensions profiter de l’obscurité et de la forêt pour éviter les humains qui devaient sûrement encore traîner dans le coin. Après une nuit de marche, nous nous installâmes dans un petit renfoncement au creux d'une falaise, tous près d'une chute d'eau. Karagnah pris le premier tour de garde pour me laisser me reposer, je fus étonné de voir qu'il ne montrait aucun signe de fatigue après une si longue marche, et surtout pour l'age avancé qu'il avait. Il ne me réveilla qu'à la tombée de la nuit, il n'avait pas dormis une seconde, mais donnait l'impression de pouvoir tenir encore trois jours. Il m'impressionnait, ne parlait que très peu, et donnait toujours un sentiment d’intense réflexion.
Rien de spéciale ne nous arriva, mis a part un où deux sanglier qui nous chargèrent, pour mieux finir dans nos estomacs. Nous traversâmes ainsi toute la région des Barrens, cette région n’était pas encore un croisement de chemin surpeuplé mais une taïga inhabitée .

Chapitre2 : Une rencontre Bienvenue

Arrivés à l’extrémité nord, longeant la forêt d’Ashenval, nous dûmes nous faire discrets car des sentinelles elfes guettaient tous mouvement, et nous ne pouvions risquer un combat a deux orcs pauvrement armés contre une escouade elfique.
Nous nous trouvions encore dans la forêt lorsque des voix se firent entendre, mais se n’était pas des voix d’elfs, cela ressemblait à des chants, les voix étaient rauques, d’une langue inconnu, et quelques instant plus tard nous vîmes sortir des Taurens de la forêt, en nous voyant ils arrêtèrent leur chant. L’un d’eux, sûrement leurs chef, s’approcha de nous suivis par ses semblables.
“Bonjour! Nous dit il avec une voix rocailleuse. Je suis Tarenor Thunderhorn, chef des rôdeurs de la horde, et, à l’occasion, messager de notre vénérer chef, Kairne Bloodhoof. Que faites vous si proche de la forêt d’Ashenval?
-Nous allons à Orgrimmar afin de nous entretenir avec Thrall, Chef de l’armée de la horde. Lui répondit Karagnah. Et vous que faites vous ici?
-Nous sommes mandatés par Kairne Bloodhoof, afin d’apporté un message a Thrall.
-De quoi parle se message?
-Nous n’en avons aucune idée, et nous n’avons pas cherché à le découvrir, mais il doit être important pour que Kairne demande a ses meilleurs soldat de le transporter.
-Mais que faisiez vous dans la forêt? Ce n’est pas du tout le chemin venant de Thunder Bluff. Lui dis-je, m’immisçant ainsi dans la conversation.
-Nous le savons, me répondit le Tauren avec un petit sourire d’amusement. Nous avons simplement croisé des elfs contre qui nous nous sommes battus et les avons poursuivis jusque dans la forêt pour tuer les fuyard, mais ils se sont volatilisés comme par enchantement. À ce propos, vous devriez évité de vous promenés seuls aussi près d’Ashenval, l’Alliance est de plus en plus active ces derniers temps, et en particulier les elfs.
-Nous n’avons pas le choix. Lui répondit Karagnah. Nous ne sommes pas partis avec des compagnons, et n’avons croisé personne jusqu’à maintenant.
-Eh bien ne vous inquiétez pas. Coupa Tarenor. Vous ne serez plus seuls, nous vous tiendrons compagnie jusqu’à Orgrimmar, si vous le voulez bien.
-Ce sera avec plaisir. Lui répondit-on en coeur.
-Très bien, nous allons camper ici cette nuit. Il s’adressa à ses Taurens. Organisez des tours de garde. Puis, se retournant vers nous. Se soir vous êtes nos hôtes, vous pourrez dormir en paix.”
Une fois le camp installé, et le feu allumé, Tarenor nous parla de son pays et de ses coutumes, nous fument très étonnés de l’amour que les Taurens portaient à la “Terre mère” comme ils l’appelaient, ainsi que des différences de mode de vie d’un peuple qui nous était si proche, comparé au notre. Je m’endormi rapidement bercé par la voie du Tauren.

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