Mais euhhh Pas electronicien, Electrotechnicien !
Sa change tout ! Les electroniciens bossent sur des puces a 0.000000001 Volts non on bosse sur de la Haute tension !
Puis l'electrotechn c'est ça :
Partant des acquis résultant de l’étude des circuits électriques linéaires en régime sinusoïdal (monophasé), le milieu industriel a recours à des ensembles comportant plusieurs sources sinusoïdales délivrant des signaux équidéphasés. Parmi ces ensembles polyphasés, on aborde les notions relatives aux réseaux triphasés.
L’étude débute par les définitions relatives aux réseaux triphasés équilibrés. Sur cette base, la description des tensions simples et composées est effectuée, ainsi que les modes de représentation sous forme temporelle, complexe ou vectorielle. La connexion d’une charge équilibrée conduit à la distinction entre couplage étoile ou triangle pour lesquels les caractéristiques essentielles sont présentées.
Les configurations réelles conduisent souvent à considérer des charges déséquilibrées. Leur influence conduit à des évolutions notables des grandeurs électriques : circulation d’un courant dans le conducteur de neutre s’il est connecté ou, dans le cas contraire, au décalage de la tension du neutre réel par rapport à celui de la source triphasée.
Mais la livraison d’électricité s’effectue à des niveaux d’énergie tels qu’il est important de développer les notions relatives aux puissances. La puissance instantanée est exprimée de manière générale pour une charge quelconque puis dans le cas d’une charge équilibrée. C’est l’occasion de mettre en évidence que la puissance moyenne —ou active— est constante. La définition de la puissance complexe permet, à l’instar de la puissance en monophasé, d’introduire la puissance réactive, la puissance apparente et le facteur de puissance. Le document se termine sur l’extension du théorème de Boucherot et une évocation du problème de relèvement du facteur de puissance.
Les applications industrielles mettent en œuvre l’énergie électrique sous forme sinusoïdale. Vus les niveaux de puissance, les tensions et courants sont importants. Les études générales sur les matériaux ferromagnétiques ont montré des comportements non linéaires alors qu’ils sont exploités jusqu’à la saturation : il faut décrire les comportements issus de ce phénomène.
Après une brève définition de la bobine à noyau de fer (BNF), les circuits magnétiques sont étudiés dans un comportement linéaire. On tient compte cette fois-ci de la résistance de l’enroulement, de l’inductance propre et de l’inductance matérialisant les fuites magnétiques. Ces paramètres sont rassemblés dans un modèle linéaire de la BNF.
Lorsque la BNF est alimentée sous tension sinusoïdale, on observe que les chutes de tension dues à la résistance et à l’inductance de fuite sont faibles vis à vis de la tension émanant du flux. L’hypothèse de Kapp traduit cette approximation pour permettre une expression sinusoïdale du flux et du courant. C’est un moyen pratique de relier l’induction et la tension comme le traduit la relation de Boucherot.
Même si elle apporte des résultats intéressants, l’approche linéaire demeure satisfaisante pour représenter le comportement de la bobine à noyau de fer dans le domaine saturé. L’observation du courant dans la BNF saturée montre qu’il n’est pas sinusoïdal. Pour affiner le modèle, on effectue une analyse énergétique passant par la description des puissances dans les matériaux magnétiques. Aux imperfections déjà envisagées viennent donc s’ajouter les pertes dues aux courants induits (de Foucault) et par hystérésis. Cette analyse globale intégrant les pertes conduit à un nouveau modèle de la BNF plus proche de la réalité.
Le document s’achève sur quelques descriptions technologiques de la bobine à noyau de fer.
Instruisez vous :d
Fal